Péguy et la petite fille espérance

Audition d’extraits du Porche du mystère de la deuxième vertu,
lus par Patrick Auzet-Magri, artiste et formateur en art de la scène.

Souvent considéré comme poète, Péguy a également été un formidable essayiste. Quant à Jeanne d’Arc, elle aura été au centre de son œuvre, dès 1897, avec ceux qui auront tâché de « porter remède au mal universel », jusqu’en 1912 dans Le Porche du mystère de la deuxième vertu : « l’espérance, dit Dieu, voilà ce qui m’étonne ». Péguy a été suffisamment récupéré pour qu’on décide de commencer par l’entendre.

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