Par Kamel Arar, docteur en psychologie clinique, psychothérapeute et psychanalyste à Lyon.
Accueillir l’étranger, c’est se rendre disponible et être disposé à lui venir en aide. Comment envisager et différencier ce qui pour nous n’a qu’un seul visage, celui du déshérité ? La nécessité doit-elle nous faire oublier l’origine et la quête de sens de celui qui frappe à la porte ? À chaque instant l’accueil ne pose-t-il pas la question récurrente du rapport entre identité et altérité ?
Mardi 13 octobre 2015.